Les façades
Réalisées
à l'huile ou aux crayons de couleurs, elles nous rappellent que nous
sommes toujours plus ou moins en représentation et évoquent
ainsi, de façon métaphorique, l'importance et la superficialité
de l'image et du paraître dans notre société, au détriment
de l'essentiel de l'être.
Celles-ci se lisent en trois temps :
Une première approche se limitant à la contemplation de l'aspect plastique : la rigueur de la construction, l'aplomb et la froideur de la composition, les contrastes de lumières et les couleurs vives.
Une deuxième approche plus interrogative suscitée par les imperfections présentes sur ces façades (fêlures, salissures…) et les noirs laissés par les ouvertures béantes.
Une troisième phase de synthèse où l’on peut s'interroger sur la signification de ces façades sans vie que l’on peut assimiler à une série de figures humaines réprimant toute émotion.
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